Archives de catégorie : Club

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Fermeture du hangar vol moteur

Le hangar est fermé par un verrou dont la clé unique est dans le coffre fort de l’accueil.
Après ouverture du hangar la clé doit être remise dans le coffre.
Après un vol, si aucun autre vol n’est prévu sur OpenFlyers, le pilote rentre son appareil, ferme le hangar à clé et remet celle-ci dans le coffre.

During WW II

Il n’y a pas toujours eu que des gentils DR400 à Abbeville. entre 1939 et 1945 l’aérodrome a été occupé par la JG26, une escadrille allemande qui s’est opposée aux Spitfires british au dessus du Channel pendant la bataille d’Angleterre. Elle comptait des “as” redoutés des alliés qui les appelaient Les Abbeville Boys.

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Bienvenue aux visiteurs

Dès qu’il fait beau le terrain s’anime. Parisiens, Belges, Hollandais et Anglais qui n’hésitent jamais à traverser le Chanel pour nous rendre visite.
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Nouveau balisage

De nouvelles balises imposent de marquer le stop avant de croiser ou de pénétrer les pistes 13/31 et 02/20.
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Coffre fort

Pour être en conformité avec les mesures de sureté qui nous sont imposées, les carnets de route et les clés des avions sont regroupés et enfermées dans un coffre fort à l’accueil.

La combinaison vous sera communiquée sur demande.

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L’air de rien, le ciel est à vous « vieille canaille »

Article Courrier Picard du 16 Octobre 2011

Même si à 91 ans, il ne vole plus, René Georges continue de fréquenter l’aéro-club d’Abbeville, dont il est un doyen discret aux 2 000 heures de vol. Respect.

C’est un rituel. Tous les mercredis midi, René Georges retrouve des anciens de l’aéro-club d’Abbeville. Ensemble, ils cassent la croûte au restaurant du Relais de l’Europe, au pied de la piste, « racontent toujours les mêmes histoires » et regardent les avions décoller et atterrir. Sans regrets. « On ne vole plus, mais ça ne nous empêche pas de critiquer ! » s’amuse le doyen de l’aéro-club d’Abbeville. Il a 91 ans et ne pilote plus depuis 2000. « J’ai préféré arrêter de moi-même. Plus on avance en âge, plus les contrôles sont sévères. Je n’aurais pas aimé qu’on me dise que je ne pouvais plus le faire, même si j’en ai pleuré. » Quand René « monte au terrain », sur les hauteurs de la ville, il ne rumine pas sa nostalgie. Le vélivole sait qu’il est « chez lui » au club et apprécie cette atmosphère qui l’a accompagné à peu près toute sa vie.

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