Archives de catégorie : Club
Fermeture du hangar vol moteur
Le hangar est fermé par un verrou dont la clé unique est dans le coffre fort de l’accueil.
Après ouverture du hangar la clé doit être remise dans le coffre.
Après un vol, si aucun autre vol n’est prévu sur OpenFlyers, le pilote rentre son appareil, ferme le hangar à clé et remet celle-ci dans le coffre.
During WW II
Il n’y a pas toujours eu que des gentils DR400 à Abbeville. entre 1939 et 1945 l’aérodrome a été occupé par la JG26, une escadrille allemande qui s’est opposée aux Spitfires british au dessus du Channel pendant la bataille d’Angleterre. Elle comptait des “as” redoutés des alliés qui les appelaient Les Abbeville Boys.
Stupéfiant !
13 kg de schnouf saisis sur l’aérodrome A lire ICI
Déménagement du site WEB
L’aéroclub a désormais sont propre nom de domaine. Le site se trouve maintenant et définitivement à l’adresse http://www.aeroclub-abbeville.fr et pour les membres le système de gestion vol à voile est à http://www.gestion.planeur-abbeville.fr Mettez à jour vos favoris afin de nous aider à nous faire référencer. Vous pouvez aussi retrouver Planeur Abbeville sur Facebook
Bienvenue aux visiteurs
Nouveau balisage
Coffre fort
Terminal Carte Bleue
Le club dispose désormais de ce nouveau moyen de paiement.
L’air de rien, le ciel est à vous « vieille canaille »
Article Courrier Picard du 16 Octobre 2011
Même si à 91 ans, il ne vole plus, René Georges continue de fréquenter l’aéro-club d’Abbeville, dont il est un doyen discret aux 2 000 heures de vol. Respect.
C’est un rituel. Tous les mercredis midi, René Georges retrouve des anciens de l’aéro-club d’Abbeville. Ensemble, ils cassent la croûte au restaurant du Relais de l’Europe, au pied de la piste, « racontent toujours les mêmes histoires » et regardent les avions décoller et atterrir. Sans regrets. « On ne vole plus, mais ça ne nous empêche pas de critiquer ! » s’amuse le doyen de l’aéro-club d’Abbeville. Il a 91 ans et ne pilote plus depuis 2000. « J’ai préféré arrêter de moi-même. Plus on avance en âge, plus les contrôles sont sévères. Je n’aurais pas aimé qu’on me dise que je ne pouvais plus le faire, même si j’en ai pleuré. » Quand René « monte au terrain », sur les hauteurs de la ville, il ne rumine pas sa nostalgie. Le vélivole sait qu’il est « chez lui » au club et apprécie cette atmosphère qui l’a accompagné à peu près toute sa vie.






