Archives de catégorie : Histoire

Carnet noir

Arthur Monvoisin, père de Jean-Jacques, est décédé ce samedi dans sa 94 ème année. Bien que n’étant pas lui même pilote il fut Vice-Président de l’aéro-club de Picardie basé sur le terrain d’Amiens-Glisy. Ingénieur électronicien à la SNCF, passionné de technique , il fut le concepteur en 1992 d’un système d’allumage des feux de l’aérodrome commandé par le pilote.
La presse de l’époque se fit l’écho de cette invention.

Saluons ce grand Monsieur qui sut mettre sa passion au service des aviateurs.

Un article de François Besse dans Info-Pilote de février 1992
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Cérémonies du 14 juillet

CP14juilletComme à l’accoutumée notre club s’est associé aux manifestations commémoratives . Le Courrier Picard 15 juillet 2014

During WW II

Il n’y a pas toujours eu que des gentils DR400 à Abbeville. entre 1939 et 1945 l’aérodrome a été occupé par la JG26, une escadrille allemande qui s’est opposée aux Spitfires british au dessus du Channel pendant la bataille d’Angleterre. Elle comptait des “as” redoutés des alliés qui les appelaient Les Abbeville Boys.

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L’air de rien, le ciel est à vous « vieille canaille »

Article Courrier Picard du 16 Octobre 2011

Même si à 91 ans, il ne vole plus, René Georges continue de fréquenter l’aéro-club d’Abbeville, dont il est un doyen discret aux 2 000 heures de vol. Respect.

C’est un rituel. Tous les mercredis midi, René Georges retrouve des anciens de l’aéro-club d’Abbeville. Ensemble, ils cassent la croûte au restaurant du Relais de l’Europe, au pied de la piste, « racontent toujours les mêmes histoires » et regardent les avions décoller et atterrir. Sans regrets. « On ne vole plus, mais ça ne nous empêche pas de critiquer ! » s’amuse le doyen de l’aéro-club d’Abbeville. Il a 91 ans et ne pilote plus depuis 2000. « J’ai préféré arrêter de moi-même. Plus on avance en âge, plus les contrôles sont sévères. Je n’aurais pas aimé qu’on me dise que je ne pouvais plus le faire, même si j’en ai pleuré. » Quand René « monte au terrain », sur les hauteurs de la ville, il ne rumine pas sa nostalgie. Le vélivole sait qu’il est « chez lui » au club et apprécie cette atmosphère qui l’a accompagné à peu près toute sa vie.

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