Archives de catégorie : Histoire

Les 100 ans de la traversée des Andes d’Adrienne Bolland ! Un tel Anniversaire, Ça se fête !

Vendredi 26 Mars 2021

Pour vous tous, élèves du BIA ou pas, cette année nous allons fêter plusieurs centenaires.

Le 1er de la série est celui de la traversée des Andes par l’Aviatrice rebelle et volontaire, Adrienne Bolland, le 1er avril 1921.

Sa Devise : « J’ai peur, donc j’y vais ! »

L’Association Française des Femmes Pilotes ( AFFP ) proposera comme chaque année des Bourses Sportives de Pilotage pour les jeunes élèves ou Femmes Pilotes désirant investir dans un projet aéronautique .

Pour cela une souscription est lancée afin de proposer des Bourses dans le cadre d’un hommage à Adrienne Bolland.

Faites un Don !

Des Bourses de Pilotage seront offertes cet été, par l’AFFP !

Voir sur le site :

http://www.femmes-pilotes.com/

Mais qui est Adrienne Bolland ?

Adrienne Bolland obtient son brevet de pilotage le 29 janvier 1920 après une formation débutée le 16 novembre 1919 à l’école de pilotage Caudron située au Crotoy en baie de Somme, devenant ainsi la 13e femme titulaire d’un brevet de pilote et elle réussit également la performance d’être la première femme pilote d’essai engagée par René Caudron, le 1er février 1920 et ce, pour trois ans. Le 25 août 1920, elle est la première femme pilote à traverser la Manche depuis la France (Harriet Quimby l’avait traversée, quant à elle, depuis l’Angleterre en 1912).
Au grand rassemblement aérien de Buc des 8, 9 et 10 octobre 1920, elle est la seule femme à piloter, Melle Farman étant encore trop jeune pour avoir reçu son brevet, aux côtés des as : Fonck, Nungesser, Romanet, Casale, Bossoutrot … Elle entend parler des « macchabées de la cordillère des Andes » et supplie Caudron de l’envoyer là-bas, « juste pour voir ».

Journal  » El Grafico  » 19 Mars 1921

Arrivée à Buenos Aires en janvier 1921 avec deux G.3 démontés dans des caisses, et le mécanicien René Duperrier de la firme Caudron à ses côtés, elle réalise la propagande commerciale demandée par l’avionneur sitôt les avions arrivés et remontés. Mais dès son installation à l’hôtel Le Majestic, la presse argentine met au défi l’aviatrice de passer la cordillère des Andes. Piquée au vif dans son orgueil, elle décide, à la mi-mars, de rejoindre Mendoza, malgré le refus de Caudron de lui envoyer un avion plus puissant. Elle arrive en train, dans la capitale de la province nichée aux pieds de la cordillère, le dimanche 20 mars, avec un des deux G.3 et fait deux essais devant toute la ville, avant de s’envoler à l’aube du 1er avril. Le plafond du Caudron G.3, construit en bois et toile, moteur le Rhône de 80ch, est à 4 000 mètres, alors que la route qu’elle a choisie, la plus directe, à la différence de ses prédécesseurs, par le Col de la Cumbre et le monument du Christ Rédempteur des Andes, la fait passer à proximité du point culminant de la chaîne, l’Aconcagua, à 6 962 mètres d’altitude. En partant, elle est convaincue de ne jamais sortir vivante de cette traversée sans carte ni instrument de navigation.
Après 4h15 d’un vol épique, où elle se perd et doit chercher son chemin entre les flancs à pic des montagnes, à une moyenne de 50 kilomètres à l’heure, après un choix vital qui la rendra célèbre lorsqu’elle révélera comment se prit sa décision, elle se pose sur la piste de Lo Espejo, l’école militaire d’aviation de Santiago du Chili, aujourd’hui El Bosque.
Elle reçoit au Chili un accueil d’autant plus triomphal que l’exploit paraissait invraisemblable. Grand absent, le Consul de France à Santiago ne s’est pas déplacé, croyant à un poisson d’avril !
Toutes ses péripéties sont relatées dans la biographie que Martine Laporte a publiée en 2015 : Adrienne Bolland, la déesse des Andes.

Photo Tallandier Bridgeman Images

Elle revient en France, en juillet 1921, après une longue tournée en Argentine et en Uruguay. Profitant de sa notoriété, elle participe à de nombreux rassemblements aériens durant lesquels elle exhibe ses capacités techniques. Le 27 mai 1924 à Orly, elle bat le record féminin de looping en réalisant 212 boucles en 72 minutes, son objectif était de battre les 962 loopings du record masculin établi en 1920 par son ami Alfred Fronval, mais les fils des bougies de son Caudron C.27 F-AGAP lâchèrent.
Avec Maurice Finat et le lieutenant Robin, fondateurs de l’Escadrille Mamet, elle devient l’acrobate de l’air la plus active et la plus populaire de France, et la seule femme « propagandiste » de l’air pour le ministère des Transports Aériens. Dans la France rurale et peu au fait de la réalité des plus lourds que l’air, en 1926, la petite troupe connaît toutes les mésaventures possibles.
En 1930, six années après leur rencontre, elle épouse l’aviateur Ernest Vinchon, à Paris.

En 1934, Louise Weiss lui demande de l’aider dans la cause du vote des femmes. Elle fait en sorte que Maryse Bastié et Hélène Boucher s’engagent dans ce combat.
Opposée à tous les totalitarismes, prônant l’humanisme vrai, amie des mécaniciens, de peintres comme Moïse Kisling, d’auteurs tel Pierre Dac et de la première chroniqueuse de l’air : Louise Faure-Favier, tout autant que de Liane de Pougy, ancienne courtisane et maîtresse de toutes les têtes couronnées des années 1900, elle devient l’ardent soutien du nouveau ministre de l’Air, le jeune Pierre Cot. Très proche de Jean Moulin et du responsable de l’Aviation populaire, Sadi-Lecointe, elle l’aide au recrutement des pilotes de l’escadrille España dirigée par André Malraux, à partir de 1936. Ses choix et ses positions politiques ouvertement à gauche lui font subir de nombreux sabotages ; elle connaît sept accidents graves.
En 1940, elle décide, avec son mari, de rester dans la zone occupée par les Allemands, puis de rejoindre le réseau CND-Castille du Loiret. À Donnery, le couple se charge du repérage des terrains susceptibles d’aider les Forces aériennes françaises libres.


Les lauriers de la gloire


En 1961, Air France fête les 40 ans du survol historique de la cordillère des Andes en offrant le voyage au couple Bolland-Vinchon.
Ernest Vinchon, mort en 1966 à Pau, est enterré à Donnery.
En 1971, Air France fête le cinquantenaire du passage des Andes en affrétant un avion spécialement pour Adrienne et 30 de ses amis. Leur tournée les mène de Rio à Santiago en passant par São Paulo, Montevideo, Buenos Aires et Mendoza.
Adrienne Bolland, décédée à Paris le 18 mars 1975, rejoint son époux au cimetière de Donnery dans le Loiret, berceau de sa famille. Seuls son frère et quelques membres d’honneur des Vieilles Tiges sont présents à ses obsèques.
Elle est la seule gloire des « ailes françaises » à ne pas avoir de monument à son nom en France ou à l’étranger.
En 2018, un fonds d’archives familiales est versé aux Archives départementales du Loiret.

Décorations, distinctions et hommages

  • Chevalier de la Légion d’honneur en 192419, elle est promue officier en 1947.
  • Décorée de l’ordre du mérite au Chili (après décret spécialement voté pour elle en 1921).
  • Vice-présidente de l’Association nationale des Résistants de l’Air.
  • Présidente d’honneur de l’Aéro-club de France.
  • Reine des vendanges de la province de Mendoza (Argentine), ville dont le gouverneur lui offre les clefs en 1971.
  • Médaillée d’or de l’Aéro Club de Buenos Aires.

Évènements futurs :

Cette année, l’AFFP organise un grand évènement pour le centenaire de la traversée des Andes par Adrienne Bolland. Cet évènement se déroulera en visio conférences le 1 er et 2 avril 2021 et celle du 1er avril sera retransmise partiellement sur notre Facebook, Instagram et visible sur notre Youtube.
L’AFFP vous souhaite une agréable journée.
Cordialement,
Communication AFFP

Encore une belle opportunité pour faire connaître et développer notre passion !

Vous pouvez tous nous aider !

Source historique : Wikipédia,
Sources photos : AFFP, Wikipédia et Sites personnalisés indiqués.

Françoise Sockeel

On y a cru ! On a tenu ! On l’a vécu !

2 Novembre 2020

Retour d’expérience sur une belle aventure : la fête aérienne des 90 ans de l’aéroclub d’Abbeville-Baie-de-Somme !

Un avion de tourisme de type cessna à travers le rotor du dauphin de la 35F. Dimanche 13 Septembre 2020

Malgré quelques esprits chagrins qui présageaient, bien trop tôt, d’une chronique d’un échec annoncé, nous avons géré la fête aérienne des 12 et 13 Septembre 2020 avec efficacité, ténacité et sécurité pour tous.

Ce fût 2 jours de Passion aéronautique partagée, avec tous nos invités, intervenants et Femmes Pilotes.

Les Femmes Pilotes d’Abbeville !

C’est avec un calendrier serré, riche en invités, triés sur le volet, que nous avons enthousiasmé les adhérent(e)s venus de toutes contrées pour nous assurer de leur amitié !

Dès le vendredi soir, les avions des premiers passionnés ont fait leur arrivée !

Place aux avions « Vintage » de l’Association « Renaissance du Caudron Simoun » !

Une première soirée de l’amitié, apéro et moules-frites de William déclenche les festivités !

Dès le samedi matin, expositions, conférences historiques et films sur les « Femmes Pilotes » et l’aéronautique en Picardie se succèdent jusqu’à la nuit tombée ! La Marine Nationale, l’Armée de l’Air nous accompagnent dans cette promotion des Carrières !

Puis vers 19h « Soirée de Gala! »

En présence d’  « Édouard Brondel  » arrière-arrière petit-fils de Gaston Caudron, créateur-visionnaire avec son frère Gaston, des Avions Caudron à Rue et de « Christine Debouzy » présidente de l’Association Française des Femmes Pilotes qui offre aux lauréates de l’année la bourse aéronautique chèrement gagnée !

Demain est un autre jour !

Nous le verrons bientôt !

Francoise Sockeel

Crédits photos : Vincent Détaille, Romuald Le Henaff ( Marine Nationale)

« Histoires de Pilotes » ! Les Aventures aériennes des Baroudeurs du Ciel Picard!

31 Juillet 2019

La Baie de Somme en rêve encore !

C’est vrai qu’elle les aime, ces grands oiseaux qui la survolent, tantôt ronflant, tantôt glissant, sur ses courants aériens !

Abbeville, Le Crotoy, Rue, depuis plus de 150 ans, c’est comme une histoire d’amour avec le ciel ! Toute la Somme vit à l’ère des Pilotes d’avions, sur les aires de Picardie. Caudron, Potez, Michel Doré et tant d’autres …. Leur histoire a écrit la nôtre et nous montre les chemins vers des cieux plus lointains.

D’aucuns, chez nous, ont conservé ce goût de l’aventure qui anime, encore aujourd’hui, bien des défricheurs du ciel .

Nous allons vous conter leur histoire !

Cap sur Moscou !

Du Nord au Sud, d’Ouest en Est, toujours et partout !

Depuis longtemps, le Docteur Alain Hermant, un de nos instructeurs en Vol Motorisé de l’aéroclub d’Abbeville-Baie-de-Somme, a relevé bien des défis aériens, et entrepris d’ouvrir « Les Ailes de la Baie » aux espaces de cieux peu connus

En effet, en 2007, intégrant une Patrouille de 30 avions et de 60 pilotes, il a pris l’air vers la Russie et « Le Choc des Cultures » ! En premier, un vol vers l’aérodrome militaire de « Jukowski », centre d’essais expérimentaux, base secrète soviétique à la piste de 5400km, la plus longue du monde, puis le but de tous a été la visite du salon aéronautique « Max », qui a lieu à Moscou, 1 an sur 2, depuis 1993.

Le film que nous vous présentons aujourd’hui tient à la fois du Thriller de Haut Vol et d’une source authentique et riche d’enseignements et d’expériences ! Navigation, Préparation des vols, des appareils, de la Sécurité, de la Gestion administrative … Il faut se soucier de tout et anticiper … Si possible !

Cette histoire a été écrite jusqu’au bout par des pilotes passionnés, aidés par d’autres pilotes du bout du monde, portés par leur fraternité et leur ténacité !

Si vous aimez vivre intensément, si vous adhérez à des moments forts et chargés d’adrénaline, venez vous enrichir d’expériences de Navigation et de Voyages et retrouver Alain Hermant, de Valenciennes à Moscou !

Il y a toujours à apprendre de l’expérience des autres !

Cliquez sur le lien pour lire la vidéo

Une belle vidéo à voir, à revoir et à déguster sans modération !

A bientôt pour de nouvelles aventures !

Françoise Sockeel

Les Américains ont Tom Cruise dans « Top Gun », ! À Abbeville, nous avons Alexandre dans « 600km chrono » 

16 Juillet 2019

Le Mardi 2 juillet 2019, Alexandre Fierain, jeune et talentueux pilote de planeur, vient de vivre 3 moments forts de sa vie ! Dans la même semaine, il fête ses 19 ans, il réussit l’épreuve du BAC scientifique et il sera le premier jeune pilote à enregistrer un circuit de 600km sous la bannière de l’aéroclub !

Il est vrai qu’Alexandre peut se prévaloir de vivre dans une famille de vélivoles passionnés, son père Guillaume et ses deux frères Thomas et Nicolas volent depuis toujours. Lui-même, après avoir fait ses premiers pas sur un terrain d’aviation, a vécu son premier baptême de l’air en Planeur à l’âge de 7 ans. Il engrange les riches expériences de vélivole : plus jeune pilote de planeur de France en juillet 2016, plus de 500h de vols à son actif, lâché remorqueur et Pilote d’ULM. Alexandre intensifie toutes les aventures aériennes possibles.

Ce matin là, avec le planeur de son père, l’ASW 20, sur lequel il ne cumule que 30h de vol, sa décision est prise ! Il tente le 600km et décide de partir pour un circuit bien préparé : Abbeville-Sedan-Saint Quentin-Hirson-Abbeville ! C’est à dire 6h45 de Vol en Planeur, une moyenne de 90km/h ! Juste après les épreuves du BAC, ça défoule ! Il part confiant et motivé, seul contre tous !

Départ de la Baie de Somme, vu par Alexandre !

Alexandre décolle à 11h25, dans l´ASW20, non ballasté, avec un remorquage à 1200m, passe la ligne de départ en direction de Sedan à 1100m,

L’analyse Météo de la veille était bonne. Il suffit maintenant de faire des choix stratégiques adaptés pour effectuer le circuit, le plus vite possible !

Même si la météo semble moins favorable sur Sedan, le retour par Saint Quentin est possible, « on y va, on y croit ! » Alexandre est dans les temps pour se rendre à Hirson !

Quelques rues de nuages plus tard, à 160 km d’Abbeville, il se lance pour la finale, délibérément confiant dans la météo ! «  Personne ne l’a fait, alors j’y vais ! »

Enfin à 18h20 heure fatidique, Alexandre passe à la verticale d’Abbeville ! Il sera le champion du jour !

Coucher de soleil sur la Baie de Somme !

A bientôt pour de nouvelles aventures !

The End !

Crédit Photos : Alexandre Fierain

Françoise Sockeel

Quand les Planeurs ne volaient pas uniquement pour notre pur plaisir !!!

11 Juin 2019

Ce soir là , il y a 75 ans, le 5 juin 1944, l’opération Tonga a été lancée.

Le 8 mai 1944 commença un exercice de masse d’atterrissages de nuit avec des planeurs  « Horsa » du régiment de pilotes de planeur.

Au total, 115 planeurs ont été remorqués à travers le sud de l’Angleterre et des Midlands, par la terre, jusqu’à Netheravon. À moins de 15 km de là, les équipages des remorqueurs ont été guidés vers leurs points de libération par des balises « eurêka », qui ont été mises en place par des troupes spéciales d’ « Eclaireurs-Patrouilleurs » avec des lumières holophane.

Le Superviseur de l’exercice était l’AOC-C de la force expéditionnaire alliée, le Maréchal en chef de l’air, Sir Trafford Leigh-Mallory.

Le succès de l’Opération d’entrainement « Dingo » fût l’aboutissement de mois de formation intensive pour les pilotes et les troupes, et sans le succès de ces exercices, les opérations aéroportées de Deadstick, Tonga et Mallard n’auraient pas été si réussies.

Gardez une pensée pour ceux qui sont allés au combat, à travers le ciel sombre de la nuit et les canons flak, sur le sol étranger.

Photo de l’Opération « Dingo » prise à la RAF de Netheravon

Paix pour tous ceux qui ne sont jamais revenus !

Nous leur devons notre histoire et notre avenir!

Françoise Sockeel 

Retour sur un Anniversaire « Vintage » sur l’aérodrome d’ Abbeville !

11 Juin 2019

Il y a quelques semaines, une vingtaine d’avions « Chipmunks » et « Bulldogs » venaient, comme chaque année en juin, fêter leurs retrouvailles sur notre plateforme. 

La « Bullchipmeet » était parmi nous pour faire admirer leur talent et leurs magnifiques engins !

Petit retour sur un bel oiseau !

Cliquez sur le lien pour tout savoir sur les « Bulldogs » !

https://www.aviationsmilitaires.net/v2/base/view/Model/249.html

De belles rencontres sur Terre et dans le ciel !

Superbe T6 en vol !
La présence d’un Fouga-Magister donne encore plus d’éclat à cette rencontre !

Merci à tous les participants de ces belles journées !

Crédit photos : Vincent Detaille

À l’année Prochaine !

Françoise Sockeel

Annulation de la rencontre du Piper Club de France

La rencontre prévue ce week-end des 30 avril et 1er mai pour commémorer le centenaire de l’Ecole Caudron est annulé. Les incertitudes météo ont conduit à cette décision compte tenu des trop nombreuses difficultés à prévoir pour les participant dont beaucoup viennent de loin.

La manifestation est reportée à une date ultérieure.

Activité sur le terrain

le week end du 30 avril et 1er mai ainsi que le week-end du 7 et 8 mai notre terrain accueillera deux manifestations importantes : La commémoration du centenaire de l’école Caudron d’une part et le fameux Bull Chip Meet d’autre part.bullchip

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Christophe raconte sa passion du Stampe

F-BDMO 1985 VOL INVERSE MON PERE AUX COMMANDESPour l’aéroclub d’ABBEVILLE, l’histoire d’une passion contée pour NOEL…

Il était une fois, ma passion de toujours pour le STAMPE, et un STAMPE en particulier…

Comme dans Astérix, je suis tombé dedans étant gosse… Et cela ne m’a jamais quitté… Continuer la lecture

Cérémonies du 11 novembre

Une formation de l’aéro-club a survolé le monument aux morts suivie du magnifique biplan SE5 de Christophe, réplique d’un appareil anglais ayant participé aux combats sur la Somme pendant la première guerre mondiale.